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Brève communication

Premières observations de Sympetrum vulgatum ibericum Ocharan, 1985 (Odonata : Libellulidae) dans les Pyrénées-Atlantiques

Croisille Yoann, Bailleux Gilles, Doré Florian, Escolar Quentin, Jourdain Bruno, Kalfayan Mathias, Krieg-Jacquier Régis, Masloski Fanny, Melin Marie & Pajot Malvina
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Sympetrum vulgatum (Linnaeus, 1758) est un taxon ouest-paléarctique composé de trois sous-espèces : S. vulgatum vulgatum (Linnaeus, 1758) largement distribué de l'Europe de l'Ouest au Japon, S. vulgatum decoloratum (Selys, 1884) en Turquie et Asie centrale et S. vulgatum ibericum Ocharan, 1985 endémique de la Péninsule ibérique. L'étude moléculaire de Hinojosa et al. (2017) a confirmé la validité taxonomique des trois ...

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Les nomenclatures existant pour les odonates diffèrent d’une langue et d’un pays à l’autre. Ainsi, la désignation en langue française des appendices anaux des odonates est variable d’une publication à l’autre, diffère de celle utilisée en d’autres langues et diverge entre ...

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Des inventaires spécifiques à Sympetrum depressiusculum ont été menés entre 2014 et 2021 dans la plaine avignonnaise vauclusienne et par extension sur les terrasses alluviales de la Durance depuis Cavaillon jusqu’à la confluence Durance-Rhône. Ces relevés ont permi ...

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Brève communication

Première mention d’Aeshna isoceles (Odonata : Aeshnidae) dans le Territoire de Belfort

Doucet Guillaume & Itrac-Bruneau Raphaëlle
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Aeshna isoceles (O.F. Müller, 1767) est une espèce ouest-paléarctique que l’on trouve depuis l’Europe de l’ouest jusqu’en Asie centrale (Kalkman et al., 2015). Son biotope de prédilection correspond à un milieu stagnant à légèrement courant, bien ensoleillé, riche en végétation, notamment en roselière (Heidemann & Seidenbusch, 2002), préférentiellement à basse altitude en dessous de 600 mètres (Maibach, 2005) même si elle atteint parfois 800 à 1000 ...

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Trois types de comportements de ponte sont connus chez les Odonates : (1) la ponte endophytique,  réalisée par tous les Zygoptères et les Anisoptères Aeshnidés, avec insertion des œufs dans des tissus végétaux, morts ou vivants, chez les espèces ayant un ovipositeur, complet et fonctionnel ; (2) la ponte exophytique, réalisée par les Anisoptères des autres familles, avec dépose des œufs à la surface de l’eau ou de la rive, chez les espèces ayant un oviposi ...

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L’habitat larvaire d’Oxygastra curtisii (Dale, 1834), est ordinairement décrit comme des zones lentes des cours d’eau à ripisylve fonctionnelle (avec un système racinaire atteignant l’eau). Toutefois Herbrecht & Dommanget (2006) nous avaient rapporté le cas d’émergence de l’espèce en milieu lentique (lacs, gravières, étangs tourbeux oligotrophes), puis entre autres Doucet (2009) sur un étang du Périgord ou encore Neveu & Hubert (2013) dans la Somme, Klei ...

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Les observations de Lestes barbarus sont de plus en plus nombreuses en Bourgogne-Franche-Comté avec, sur certaines stations, des données enregistrées plusieurs années consécutives qui laissent penser que l’espèce s’est installée durablement dans la région. L’observ ...

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Le cycle larvaire de Leucorrhinia pectoralis est donné pour deux à trois ans dans la littérature (Boudot et al. 2017, Wildermuth & Martens 2019), mais pourrait être réduit au moins pour une partie d’une population à un an (Brauner, 2006). En 2019, des indices dans le département de l’Ain (région Auvergne-Rhône-Alpes) nous conduisent à supposer que, comme pour Brauner (2006), le cycle larvaire peut s’achever en un an pour une partie au moins d’une po ...

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En 2021, huit stations (trois des quatre historiques et cinq potentielles) ont été prospectées à la recherche de Somatochlora arctica dans le Massif du Morvan en Bourgogne. Seules deux ont fait l’objet d’observation de l’espèce : une station historique avec actuali ...

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Portrait de René Martin, emblême de la revue Martinia

Une référence concernant le déplacement de plus 100 km d’un mâle de L. pectoralis en Allemagne est citée à plusieurs reprises dans la littérature comme prouvant le déplacement à grande distance de l’espèce, il s’agit de Ott (1989). Grand (2010, p. 164) précise qu’il s’agit d’un « individu retrouvé à plus de 100 km de son lieu de marquage ». Dupont (2010, p. 55) donne une distance maximale de 100 km de déplacement (colonne A du tableau : limite ...

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